L'auteure propose une méditation spirituelle sur la mort sous la forme d'un chemin initiatique où elle évoque Nikola Zaric, sculpteur suisse décédé en 2017, dont l'oeuvre lui révèle que la vie ne se trace pas en ligne mais en ronde.
A partir de son expérience d'aumônière en milieu hospitalier et d'une maternité qui aurait pu mal tourner, l'auteure propose un essai sur les vérités d'un Dieu imprévisible et sur sa façon d'appréhender la religion protestante.
Sous la forme d'une lettre adressée à un enfant qui est sur le point d'être baptisé, un texte évoquant l'amitié, l'espérance et la puissance fragile de la vie.